Jardin Kintsugi à Chaumont sur Loire
Clap de fin pour le Kintsugi
C’est ce dimanche 5 novembre que s’est clôturée la 32e édition du festival international des jardins de Chaumont sur-Loire. L’occasion pour nous de revenir sur le jardin du Kinstugi imaginé, dessiné et réalisé par Grégory Simon dans le cadre d’un atelier projet organisé dans la section d’Architecture des Jardins et du Paysage à la Haute École Lucia de Brouckère (campus du Ceria à Anderlecht).
L’art du kintsugi est une métaphore de la résilience. Cette technique japonaise ancestrale répare des porcelaines brisées en soulignant leurs fêlures avec de la poudre d’or. Au lieu d’être cachées, les failles embellies rendent l’objet consolidé, paradoxalement plus précieux. Inspiré de cette philosophie, Le jardin Kintsugi a été imaginé comme une poésie. Ici, les fêlures sont représentées par les fragments en asphalte, qui évoquent la terre desséchée, bientôt délaissée de toute vie. Le rôle de l’or est, quant à lui, joué par le végétal. Parée de verdure, la terre reprend vie et la nature devient spectacle.
Scénographe, illustrateur et étudiant en architecture des jardins et du paysage, Grégory Simon vit et travaille à Bruxelles. En 2019, il crée Inkwood, une ville imaginaire dont il pense le plan et dessine les maisons une à une. En parallèle de ce projet artistique au long cours, il suit, depuis 2020, des études de bachelier en architecture des jardins et du paysage à la Haute École Lucia de Brouckère à Anderlecht.





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“Qui casse paie” : ce vieux dicton, tout le monde l’a prononcé un jour. Il forme également la base des relations mutuelles dans de nombreux domaines. Toute personne qui cause un dommage à une autre personne (ou à ses biens) est tenue de le réparer ou de remplacer les biens endommagés. Si ce remplacement n’est pas possible, une compensation financière peut s’y substituer. Ce principe a été formalisé dans les articles 1382 à 1386 du Code civil et constitue la base de l’assurance en responsabilité civile (RC).
Au départ, une étude de 2009 établissant que 80 % des citadins considèrent l’arbre comme la principale expression de la nature en ville. Pour répondre à cette attente, le Centre du Paysage ASBL est parti à la recherche d’un terrain, à usage de parc. Nous voulions créer un nouvel espace naturel, en ville, avec des bénévoles, et dans la foulée favoriser les liens sociaux et l’esprit du vivre ensemble. Et ce malgré l’absence de moyens financiers.
Daniel Fouss
BALA


